©BRAIN DAMAGE

B R U N E H I L D . K Ê N E . B R Ü K N E R

Je descend d'une famille peu connus en Allemagne, c'est pourquoi lorsque je vous dis Brükner il est évident que vous ne me sauterez pas dessus en me racontant des bétises juste pour m'impressionner et me mettre dans votre poche. Mon prénom est censé être Brunehild, souvent diminué à Brune, mais depuis toute petite mes proches me surnomme Kêne, allez en connaître la raison. Je crois qu'il s'agit du premier mot que j'ai réussis à prononcer bien qu'il ne représentait rien pour moi à cette époque, ou que je ressemblais au mari de barbie étant petite, qui sait ... Il y a maintenant dix-sept ans que je suis née, le premier matin de mars pour être précise. Je ne suis pas très fière d'être arrivée, là où j'en suis. Devoir arrêter mes études rien que pour ce foutu cabaret commence à me monter à la tête.

entière butée franche sociable attirante jalouse impulsive sympathique tolérante désordonnée caractérielle cultivée douce insatisfaite sensible un vrai cordon bleu imaginative imprévisible bavarde sarcastique observatrice maladroite exigeante a un coeur d'artichaut rêveuse mélancolique féministe malchanceuse audacieuse assidue ronchonne a peu confiance en elle fidèle compte beaucoup trop sur les autres adorable contradictoire

Ce qui énerve les autres ● Ce doit sûrement être ma capacité à encaisser toutes les paroles blessantes ou actes humiliants qu'on puisse me faire. Nous vivons maintenant dans un monde de haine et d'envie, et personne n'échappe à la règle. Seulement certaine personnes apprennent à faire avec, à ne plus ce soucier de toutes ses vacheries à tout va, tout comme moi elles font abstraction de la méchanceté qui règne autour de nous.
Ce qui l'énerve chez les autres ●
Contenue de son sac à main ● Un vrai bordel, un fourre-tout quotidien. Si il doit m'arriver un jour de sortir quelque chose se trouvant au fin fond de mon sac, il est certain que quelques minutes se passeraient avant que je n'arrive à mes fins. On y trouve de tout : un parapluie, une trousse de maquillage, mon portable, mon lecteur de musiques, mon portefeuille, un calepin et un style, des tickets de caisse, mon paquet de cigarette et j'en passe des bien bonnes.
Comment est sa chambre au cabaret ● Tout comme mon sac à main, ma chambre est un vrai foutoir, même si on arrive à discerner où est le lit et le bureau, tous mes vêtements sont empilés les uns sur les autres au pied de mon lit, la poubelle déborde de feuilles chiffonnées et l'armoire est pleine à craquée. Trouvant les murs trop sombres et la chambre trop impersonnelle, j'ai bien essayé de la customisée en accrochant quelques photos, affiches et vinyles mais elle en reste toujours aussi terne.
Citation préférée ● Les souvenirs, c'est bien joli. Mais on ne peut ni les toucher, ni les sentir, ni les serrer contre soi ...
Liste de lecture dans son baladeur ● Are you still aving fun des Eagle eye cherry, Baby's romance de Chris Garneau, Cigarette smoke des Artic monkeys, Cobrastyle de Mad Cobra, Easily des Red hot chilli peppers, Gold lion des yeah yeah yeahs, Jerk it out des Caesars, Relator de Pete yorn, I'm not superman de Lazlo bane, Two sisters de Fiction plane, Walking on a dream d'Empire of a sun, Walking on a line de Pony pony run run, We cry des script, When you're around des Motion city soundtrack, You make my dreams de Hall & Oates.

Ce qu'elle pense de la nouvelle réforme ● Cette réforme est d'une stupidité incroyable. Les jeunes n'ont plus tant de liberté que ça puisqu'ils n'apprennent plus par eux même comment devenir des adultes. A croire qu'on les associe à une personnalité qui ne les ressemble pas forcement. Il s'agit là d'un abus de pouvoir tout simplement, d'un incroyable rêve exaucé.
Ce qu'elle pense du cabaret ● L'enseignement au cabaret n'est finalement pas si inutile qu'il pourrait paraître. Même si chaque fille à tendance à se ressembler maintenant, quelques petites touches de personnalités persistent en chacune de nous. En plus de ça, apprendre les règles de la sensualité est bien plus difficile qu'on ne pourrait le croire. Les filles ont beau être considéré comme des filles faciles, le cabaret est loin d'être un bordel.

GROUPE ● Pretty woman
CODE ● LIBIDO POWA
PSEUDO ● JERK!
AGE ● Sixteen yo
AVATAR ● Alexis Bledel

©BRAIN DAMAGE

aout, deux mille.
« Tu me le promets ? » Je tourna la tête vers lui. Nous étions tout deux allongés dans l'herbe de son jardin, face à nous l'infinis du ciel bleu. « Puisque je viens de te le dire ... » A son tour ses yeux se posèrent sur moi, il me souris puis regarda à nouveau le ciel d'un air inquiet. « Imagine que, je sais pas moi, des extraterrestres t'emmènent avec eux sur la planète mars. Comment tu va tenir ta promèse ? »A ces mots, un large sourire se dessina sur mon visage, un court instant je voulus exploser de rire mais finalement je le comprenais. Ma seule réaction fut de me recroqueviller dans le creux de son bras. Nous n'étions encore que des enfants mais une grande complicité était née entre nous. Dans un soupire je réussis à murmurer quelques paroles ... « Je ne sais pas. » et mes yeux se fermèrent aussitôt, comme si on venait de m'envoûter.

septembre, deux mille huit.
Les larmes coulaient à fleau sur mes joues. Comment pouvait-il me faire ça, après tout ce qu'il a pus dire à notre sujet. « Tu sais bien que je n'y peux rien. Kêne, s'il te plait regarde moi. » La tête enfouis sur un des cousins du canapé, je m'efforçais de souffrir en silence. Il avait raison, ce n'était pas de sa faute s'il devait partis faire son service militaire. « Arrête. Je ne veux pas culpabiliser pour quelque chose qui n'en vaut pas la peine. » Son ton froid me glaça le sang et ces quelques mots résonnaient dans ma tête. Je savais pertinemment que ma réaction n'était vraiment pas adéquate, j'aurais du l'encourage ou du moins profiter de mes derniers instants avec lui. Et puis ce n'était pas comme s'il partait à l'autre bout du monde, après tout ... « Mais de là bas, comment tu va tenir ta promesse ? » A ces mots, un sourire s'afficha simultanément sur nos deux visages.

mars, deux mille neuf.
Dix-sept ans, l'âge fatidique. Mon père n'avait pas arrêté de faire des allusions plus que gênante au repas de la veille, jusqu'à venir me le rappeler juste avant que je ferme les yeux. D'ailleurs, il entra en trombe dans ma chambre le soleil à peine levé. « JOYEUX ANNIVERSAIRE ma chérie, enfin, enfin, enfin ! » Mon père se donnait à fond dans la politique de son pays, bien qu'à l'inverse personne ne le connaisse. Lorsque la nouvelle réforme à été mise en place ce fut un miracle à ses yeux, surtout en ce qui concerne les jeunes hommes qui selon lui ne sont plus aussi durs qu'autre fois. En tant qu'homme assez porté sur les relations hommes femmes, il a tout aussi bien adhéré au principe des jeunes filles qui doivent apprendre à devenir des femmes, contrairement à ma mère qui aurait aimé que je reste vierge jusqu'au mariage. Elle n'avait d'ailleurs pas le sourire ce jour là, elle s'avait que j'allais devoir m'engager dans ce cabaret et me donner corps et âme à cet apprentissage plus que dévalorisant pour une grande catholique. « Merci, mais je ... » Un quart de seconde l'idée de renoncer à tous ça me parcoura l'esprit, je voulus rejoindre cette troupe de jeunes femmes qui ont décidé de rester vierge toute leur vie. Les yeux de ma mère s'illuminèrent comme si elle n’attendait que mon retentissement, tandis que les sourcils de mon père se froncèrent. « ... crois que je vais dormir encore un peu. » Quelle lâcheté, j'en suis belle et bien consciente, malheureusement je ne me sentais pas capable de me cacher toute ma vie et de ne pas pouvoir un jour goûter au plaisir de l'amour, ça m'était totalement impossible.

fin novembre, deux mille neuf.
« Tu sais, depuis que tu es entrée au cabaret tu es ... » Alors que je contemplais les banderoles illuminées de la ville, ma tête se tourna machinalement vers celle de X qui semblait chercher ses mots. Un sourire coquin au visage je tenta de finir sa phrase même si je savais pertinemment que ce que j'allais dire était loin de convenir à ces pensées. « Irrésistible ? » Il se mis à rire nerveusement lorsqu'en disant ces paroles je passa ma main dans mes cheveux tout en me rapprochant légèrement de lui. « A vrai dire ce n'était pas ce à quoi j'avais pensé, mais c'est pas faux. » Satisfaite, je réagissais comme on me l'avait appris : de façon indifférente afin de me faire désirer. Alors qu'on marchait tranquillement, il attrapa ma main me forçant à m'arrêter dans ma marche. A cet instant je pus lire à quel point ce qu'il allait me dire contait vraiment pour lui, rien qu'en un regard. « Tu es différente, je sais pas ce qu'ils ont bien pus faire de toi et je crois que l'ancienne Kêne me manque... » Je me mis à rire, sans aucune raison, ça n'avait rien de drôle pourtant la situation me paraissait comique. Il soupira et baissa les yeux comme si mon comportement l'exaspérait. Moi, changer ? Le camp militaire lui montait vraiment à la tête.

J'étais justement en train de regarder les avatars d'Alexis x)
Merci pour ton avis, je le prend en compte et puis je vais essaye de continuer à chercher de mon côté (:

merci beaucoup (: mais je pense prendre alexis puisque je trouve que natalie fait un peu trop vieille pour accorder au personnage, en plus alexis m'a donné une petite idée de personnage que j'aime beaucoup est-ce qu'il serait possible de me la réservé ?

Alexis Bienvenue!

MERCI KEIRA

alexis
bienvenue (:

Alexis <3. Bienvenue .

bientôt, par contre ce sera pas aussi bien que ce que j'avais prévus, manque d'inspiration en ce moment (:
MERCI

Désolé du double poste, mais on peut dire que c'est bon (: